Marco Grilli teste ses limites en drift. Les contraintes thermiques et mécaniques sont extrêmement élevées et nécessitent donc l’emploi d’une huile performante. Le drifteur suisse utilise les produits de qualité de MOTOREX pour la BMW M3 E92 avec laquelle il pratique sa passion.

Quand les pneus crissent et que l’asphalte fond, il y a des drifteurs dans le coin. Le Suisse Marco Grilli est l’un d’eux. Au quotidien, il est CEO de la concession BMW Peter Winter GmbH à Zwillikon, durant ses loisirs, il dérape – au sens tout à fait littéral du terme.

Il a tuné le moteur V8 de 4 litres de son monstre de drift au moyen de pièces G Power et par d’autres transformations pour le pousser à 600 chevaux. Il a aussi renforcé tous les éléments du châssis afin d’en optimiser le comportement en inclinaison, de la direction, qui présente un angle de braquage extrême, à la géométrie des roues en passant par la suspension et l’amortissement. Chaque drifteur a son lot d’astuces.

Marco Grilli explique ce qui se passe avec le moteur pendant un run: «Sur la piste, nos moteurs sont soumis à des sollicitations très importantes et ils doivent pouvoir les encaisser. Nous leur demandons énormément de puissance, et de puissance instantanée surtout. Cela génère de grandes contraintes thermiques et mécaniques.» Les drifteurs ont donc besoin d’une huile performante. Pour sa voiture, Marco Grilli utilise de la  MOTOREX XPERIENCE FS-X SAE 10W/60.  «C’est une huile d’excellente qualité, très stable thermiquement. Nous ne craignons ni rupture du film lubrifiant, ni dépôts, ni problèmes de pression d’huile», explique Grilli. Le drift nécessite aussi un refroidissement additionnel vu l’absence quasi-totale de flux d’air. Aucun drifteur n’a envie de «décoller» ou de pousser sa voiture au-delà des limites. Un tel monstre de puissance doit pouvoir tenir quelques challenges, contrairement aux pneus, qui résistent tout juste à un seul passage.

«Le défi dans le drift est de maintenir le véhicule toujours à l’extrême limite du décollage», explique Grilli. «On perd des points si on va tout droit. Il n’y a donc aucun temps mort pour le pilote. Il est à fond en permanence. Il doit veiller à ce qu’il y ait toujours toute la puissance aux roues arrière, qui doivent patiner en continu.»

EN DRIFT VERS UN TITRE DE CHAMPION

Grilli participe régulièrement à des événements et championnats de drift avec sa BMW M3 E92, avec beaucoup de succès d’ailleurs. Il a participé à son premier challenge de drift en 2017 et s’est ensuite rapidement fait un nom. Ces trois dernières années, il est chaque fois monté sur le podium de la Drift Series allemande sur le circuit de Hockenheim.

Cette série compte quatre catégories. La catégorie «Street» rassemble des véhicules de série ou proches de la série. En trois runs de qualification, les juges évaluent la qualité du drift dans quatre catégories: trajectoire, angle, vitesse et style. En «Open», les modifications sont plus nombreuses sur le véhicule, tandis qu’en «Club», deux drifteurs se mesurent au plus près sur un parcours. Dans cette catégorie, on a intérêt à bien connaître son adversaire. La catégorie reine a pour nom «Drift Limbo» et exige du pilote comme de la voiture le plus haut niveau de précision. Le but est de passer par une étroite porte délimitée par des cônes qui doivent rester debout.

Quand on va soi-même à la limite, on a besoin d’un partenaire sur lequel on puisse compter. MOTOREX fournit aux passionnés d’automobile des fluides de haute qualité pour les freins, la direction, la boîte de vitesses et le moteur.

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